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GIRN ALPES

Actions des TAGIRN

Grenoble Alpes Métropole

CARACTÉRISTIQUES TERRITORIALES DU SITE PILOTE

Le TAGIRN est porté par la Métropole « Grenoble-Alpes Métropole »

Le territoire de Grenoble-Alpes Métropole est un territoire alpin contrasté s’étendant du fond des vallées de l’Isère du Drac et de la Romanche jusqu’aux plus hauts sommets des massifs de Belledonne, de la Chartreuse et du Vercors. L’implantation de la métropole au pied de ces trois grands massifs et à la confluence de trois importants cours d’eau en fait un territoire particulièrement exposé aux aléas naturels (tant gravitaires qu’hydrauliques). On retrouve ainsi sur le territoire l’ensemble des aléas naturels présents en France métropolitaine : avalanches, séismes, crues torrentielles, inondations de plaine et crues rapides des rivières, ruissellement sur versants, chutes de blocs, glissements de terrains… L’ensemble du territoire métropolitain est exposée à au moins un aléa naturel. Les risques d’inondation sont dominants dans les vallées et sur les coteaux et les risques gravitaires eux prédominent dès lors que la pente devient plus raide, en montagne notamment.

Grenoble-Alpes Métropole regroupe 49 communes pour près de 450 000 habitants. Le territoire présente de multiples facettes, de la ville centre, Grenoble et ses 160 000 habitant jusqu’à des villages de montagne de moins de 100 âmes pour certains. Le cœur urbain très développé est parmi les plus denses de France. Les montagnes, proches, offrent quant à elles un environnement naturel préservé et à proximité immédiate de la ville ce qui permet un subtil équilibre entre ville et espaces naturels. La Métropole grenobloise est la plus grande agglomération européenne située au cœur du massif alpin. Elle représente à elle seule plus de 20% de la population des Alpes. Au carrefour de la France, de la Suisse et de l’Italie, elle bénéficie d’une situation privilégiée au cœur de la région Rhône-Alpes, l’une des plus prospères et dynamiques d’Europe. Le dynamisme économique et le potentiel des centres de recherche du territoire en font un territoire attractif pour de nombreuses entreprises françaises ou internationales, qui y ont installé leurs sièges ou leurs centres de R&D (recherche et développement). La Métropole compte aussi 65 000 étudiants de 180 nationalités différentes répartis dans les universités et écoles d’ingénieurs de l’agglomération. La population du territoire est jeune, cosmopolite et dynamique.

Le territoire tire son dynamisme économique d’une concentration importante de laboratoires de recherche publics et privés, et d’entreprises leaders dans des secteurs clés et diversifiés. Les principaux secteurs d’activités sont :

  • L’électronique et le numérique,
  • L’énergie,
  • La santé,
  • La chimie et l’environnement,
  • La mécanique et la métallurgie
  • Le Sport et la montagne

Le territoire métropolitain regroupe 220 000 emplois pour 33 000 établissements employeurs

Par ailleurs, l’agriculture et le tourisme restent les activités prédominantes dans les secteurs ruraux et de montagne de la Métropole.

La Métropole est engagée depuis 2017 dans une stratégie de résilience aux risques majeurs et notamment aux aléas naturels. Au-delà du programme de Gestion Intégrée des Risques Naturels, la prise en compte des risques est inscrite dans différentes démarches et politiques publiques de la collectivité.  Pour ne citer que ces exemples, la Métropole s’est engagée dans différentes actions comme :

  • Une prise en compte inédite des risques dans son PLUi (Plan Local d’Urbanisme Intercommunal) avec la constitution de 30 cartes des aléas avec un zonage et un règlement associé ou encore la rédaction d’une Orientation d’Aménagement et de Programmation (OAP) thématique sur les risques et la résilience, première en France.
  • Les différents projets d’aménagement urbains de la Métropole sont adaptés aux aléas dans l’ambition d’en faire des territoires résilients.
  • Des études permettant de mieux connaître la vulnérabilité des enjeux métropolitains ont été réalisées dans l’objectif de pouvoir à terme réduire ces vulnérabilités.  Les opérations de renouvellement urbain en réduction de la vulnérabilité en font aussi partie.
  • La Métropole accompagne ses communes et notamment les plus petites pour mieux faire face aux crises et améliorer leurs Plans Communaux de Sauvegarde.
  • La Métropole travaille aussi pour une meilleure prise en compte des risques technologiques avec par exemple des opérations de réduction de la vulnérabilité des logements et des activités économiques ou encore  le développement d’une culture du risque industriel.

Grenoble-Alpes Métropole est engagée dans différents programmes et partenariats visant soit à faire émerger ou acquérir de nouvelles pratiques et connaissances, soit de diffuser ou partager des expériences.
Un partenariat de R&D avec le Cerema doit permettre d’initier des pratiques innovantes sur des sujets comme l’urbanisme et la construction résiliente, les conséquences des défaillances d’ouvrages de protection ou encore les capacités de gestion de crise de la collectivité.
La Métropole est observatrice du programme européen transfrontalier Polder2C’s qui traite des digues, de leur risques de défaillance et des mesures de gestion de crise associées.
Différents programmes scientifiques se font en partenariat avec la Métropole, notamment avec l’Université Grenoble Alpes.
La coopération territoriale est forte, tant avec les territoires voisins, limitrophes de la Métropole, qu’à l’échelle du massif alpin et des autres TAGIRN, notamment grâce aux réseaux animés par le PARN. Cette collaboration passe aussi par des rencontres dans les réseaux animés par AMARIS (Association Nationale des Collectivités pour la Maitrise des Risques Technologiques Majeurs), France Urbaine…

Points à retenir

Grenoble-Alpes Métropole (GAM)

La Métropole est exposée à une grande diversité d’aléas naturels, qu’ils soient de nature hydraulique (torrentiel, inondations, crues rapides, ruissellement…) ou gravitaire (chutes de blocs, glissements de terrains, suffosion, avalanches …).

Faire de Grenoble un territoire pilote et expérimental en matière de risques naturels et de résilience – Améliorer les connaissances techniques et scientifiques – Adapter le territoire face aux risques – Acculturer la population – Créer une dynamique entre acteurs du territoire et monde de la recherche

Partenariats SDA et de R&D

– Améliorer la connaissance des aléas, leur prévention et leur gestion


– Mieux connaître et réduire la vulnérabilité du territoire


– Développer la résilience du territoire


– Améliorer la gestion des crises, la sauvegarde des populations et développer un système de suivi et d’alerte en temps réel


– Accroître la culture du risque de la population et communiquer sur les risques et les bons réflexes


– Devenir un territoire moteur et diffuser l’expérience à l’échelle du massif alpin

PROBLÉMATIQUE RISQUES NATURELS DU TERRITOIRE

Carte des risques naturels de la Métropole : en bleu, en violet et en vert : aléas hydrauliques, en jaune, marron et orange : aléas gravitaires (source : PLUi Grenoble-Alpes Métropole, 2019)
Le territoire métropolitain est exposé à de nombreux risques naturels et de différentes natures, qu’ils soient de nature hydraulique (torrentiel, inondations, crues rapides, ruissellement…) ou gravitaire (chutes de blocs, glissements de terrains, suffosion, avalanches …).
En termes d’exposition, cela se traduit par une vulnérabilité forte : à titre d’exemple, près de la moitié des 450 000 habitants sont exposés à au moins un aléa naturel, plus de 30 000 logements et entreprises regroupant plus de 117 000 emplois ou encore des infrastructures et des réseaux sont aussi exposés. Les fonctions métropolitaines de l’agglomération font de la maîtrise des risques sur le territoire un enjeu stratégique au-delà du territoire métropolitain.
La métropole s’est historiquement développée grâce à la maîtrise des risques naturels. L’eau et la montagne, à l’origine des aléas font depuis toujours partie intégrante de l’ADN du territoire (notamment les grands endiguements, la houille blanche, le ciment, les sports d’hiver, etc.). Si cette nature a été une force dans l’histoire et a permis l’essor de l’agglomération grenobloise; elle a été aussi et constitue toujours une menace. De nombreux évènements nous le rappellent : glissement de terrain des ruines de Séchilienne, inondations dramatiques de 1856, 1859 ou 1948, incendie de la  forêt du Néron en 2003, éboulement de Ripaillère en 2011, crues torrentielles du Doménon et des torrents de Belledonne en 2005, etc.

Le changement climatique induit des incertitudes fortes sur les évènements qui seront possibles demain sur le territoire grenoblois et alpin et quels seront les aléas associés. Cette évolution oblige aujourd’hui le territoire à anticiper et à s’adapter aux possibles risques de demain.

Pour toutes ces raisons, le territoire grenoblois est depuis longtemps précurseur en
matière de maîtrise, de prévention des risques, de recherches scientifiques, de
connaissance des aléas et de mise en place de dispositifs règlementaires. La délibération
cadre en date du 3 février 2017 a défini les axes et les objectifs de la stratégie de résilience
de la métropole :

  • Mieux connaître les risques sur le territoire
  • Intégrer les risques et la résilience dans
    l’urbanisme
  • Soutenir la réduction de la vulnérabilité
  • Planification de la gestion de crise
  • Culture du risque
  • Prévention et protection contre les aléas

Cette délibération a d’ores et déjà trouvé une déclinaison concrète sur
différents champs d’action comme par exemple l’intégration des risques dans le PLUi
(règlement, cartographies, OAP risques et résilience…), l’adaptation du territoire aux aléas,
l’émergence de projets d’aménagement résilients, le renouvellement de la culture du risque, le travail auprès des différents partenaires ou encore par exemple la dynamique sur l’organisation de gestion de crise au niveau du bloc communal et en interne.

La métropole a aujourd’hui acquis une connaissance inédite des risques tant naturels que technologiques sur son territoire ce qui appel à un défi d’innovation et d’expérimentation pour mieux prendre en compte ces derniers. C’est dans ce contexte et à partir de ce socle que la métropole avec l’appui de partenaires, notamment scientifiques, initie aujourd’hui une démarche pilote et expérimentale en matière de risques et de résilience dans son TAGIRN.
Ambitions du projet de GIRN de la métropole :Les ambitions du projet de GIRN de la métropole sont :

  • Faire de Grenoble un territoire pilote en matière de risques naturels et
    de résilience
  • Améliorer les connaissances techniques et scientifiques
  • Acculturer la population
  • Créer une dynamique entre acteurs du territoire et monde de la
    recherche

FINANCEMENT DE LA GIRN AU SEIN DU SITE PILOTE

Le projet de Gestion Intégrée des Risques naturels de Grenoble-Alpes Métropole représente un coût de 1 354 000 € entre 2018 et 2022. Le projet est cofinancé par l’Union Européenne – FEDER – POIA (677 000 €), la Région Auvergne-Rhône-Alpes (178 000 €) et de l’Etat – FNADT (200 000 €).

CARACTÉRISTIQUES TERRITORIALES DU SITE PILOTE

La première étape de la démarche entreprise par la Métropole est la constitution d’une connaissance la plus précise et exhaustive possible des aléas naturels présents sur le territoire. C’est à partir de données complètes qu’il est possible d’avoir une approche intégrée et transversale des risques et développer ainsi une stratégie de résilience.
La seconde étape est d’identifier et de comprendre quelles sont les principales vulnérabilités du territoire. Ce recensement doit permettre de prioriser les actions de réduction de la vulnérabilité mises en place.
Grâce à ces connaissances, il est alors possible  de mettre en place des moyens de prévention et de gestion des risques là où cela est nécessaire.  Des stations de mesure et de suivi permettant une meilleure prévision des aléas sont installées (exemple : instrumentation des cours d’eau torrentiels). A partir de là il devient possible de mieux prévenir et d’alerter les populations exposées.
Couplé au développement d’une culture du risque et de l’incertitude sur le territoire ainsi qu’à la définition de stratégies d’intervention adaptées à chaque aléa, la gestion des crises et la sauvegarde des populations peut être fortement améliorée. Communiquer sur les aléas permet au citoyen de mieux les connaître pour s’y préparer et savoir faire face au moment venu.
C’est dans ces conditions que la résilience du territoire peut être développée, notamment dans différentes opération et projets sur le territoire qui sont accompagnés.
L’ensemble de ce processus de gestion intégrée des risques naturels est le socle de la démarche de GIRN mise en place par Grenoble-Alpes Métropole. Ce programme d’action, détaillé dans l’onglet suivant, doit permettre au territoire de devenir un territoire expérimental et pilote sur ces question-là et de diffuser les acquis auprès des autres territoires alpins.

ACTIONS DU GIRN

  • Changement climatique et feux de forêt :
    Approche expérimentale sur l’adaptation des forêts du territoire au changement climatique. Développement de méthodes de gestion et de prévention des incendies adaptées aux zones de montagne (plantation d’espèces adaptées, gestion sylvicole…) permettant de protéger les boisements et leur rôle de forêt de protection. (interactions avec le projet de recherche SDA « GROG »)
  • Amélioration de la prévision des crues torrentielles :
    Mise en œuvre d’un réseau de surveillance des torrents du territoire (instrumentation des torrents, modèle hydrologique pluie/débit, suivi des précipitations, transmission…). Mettre en place un système d’alerte et de prévision à disposition des communes. (interactions avec le projet de recherche SDA « HYDRODEMO »)
  • Amélioration de la connaissance de l’aléa torrentiel :
    Amélioration de la connaissance de l’hydrologie, du fonctionnement hydraulique et de la morphodynamique des affluents torrentiels. Mieux appréhender la résistance des ouvrages de protection et développer un outil opérationnel d’évaluation de leur performance. (interactions avec le projet de recherche SDA « HYDRODEMO »)

La seconde étape est d’identifier et de comprendre quelles sont les principales vulnérabilités du territoire. Ce recensement doit permettre de prioriser les actions de réduction de la vulnérabilité mises en place.
Grâce à ces connaissances, il est alors possible  de mettre en place des moyens de prévention et de gestion des risques là où cela est nécessaire.  Des stations de mesure et de suivi permettant une meilleure prévision des aléas sont installées (exemple : instrumentation des cours d’eau torrentiels). A partir de là il devient possible de mieux prévenir et d’alerter les populations exposées.
Couplé au développement d’une culture du risque et de l’incertitude sur le territoire ainsi qu’à la définition de stratégies d’intervention adaptées à chaque aléa, la gestion des crises et la sauvegarde des populations peut être fortement améliorée. Communiquer sur les aléas permet au citoyen de mieux les connaître pour s’y préparer et savoir faire face au moment venu.
C’est dans ces conditions que la résilience du territoire peut être développée, notamment dans différentes opération et projets sur le territoire qui sont accompagnés.
L’ensemble de ce processus de gestion intégrée des risques naturels est le socle de la démarche de GIRN mise en place par Grenoble-Alpes Métropole. Ce programme d’action, détaillé dans l’onglet suivant, doit permettre au territoire de devenir un territoire expérimental et pilote sur ces question-là et de diffuser les acquis auprès des autres territoires alpins.

    • De la connaissance scientifique à la Gestion intégrée des Risques rOcheux dans le territoire de Grenoble Alpes métropole : GROG (INRAE)
    • Évaluation de l’aléa torrentiel : hydrologie et transport solide des petits bassins versants de montagne de la région grenobloise (HYDRODEMO)
      INRAE, UGA (IGE)
  • Le projet « conséquences des ruptures de digues en secteur urbain », en partenariat avec le Cerema vise à mieux connaître les aléas spécifiques aux bandes de précaution à l’arrière des digues et de proposer des solutions innovantes d’adaptation de l’urbanisation et de réduction de la vulnérabilité dans ces zones.
  • Etudes d’adaptation et de faisabilité du renouvellement urbain et des projets face aux risques :
    Etude pratique sur des territoires expérimentaux des moyens de réduction de la vulnérabilité (renouvellement urbain) ou d’adaptation des secteurs de projets aux risques par de la construction résiliente. Evaluation de la faisabilité économique, sociale et de la pertinence de ces projets résilients.
    • Le projet « adaptation et résilience urbaine métropolitaine : urbanisme et bâti exposés à des risques hydrauliques », en partenariat avec le Cerema doit permettre la création d’un guide de l’aménagement et de la construction en zone inondable adapté aux enjeux de la Métropole ainsi que de faire émerger une charte de l’aménagement résilient à destination des acteurs du territoire. Un travail de co-construction et de sensibilisation avec les acteurs concernés est un axe fort de ce projet.
  • Amélioration de la connaissance de la vulnérabilité du territoire :
    Mieux connaître la vulnérabilité du territoire notamment concernant l’impact des aléas sur les réseaux urbains (eau potable, usée, chauffage, gaz et électricité…), infrastructures urbaines (transports), durée avant retour à des conditions normales, etc…). Ces éléments permettront de définir une stratégie intégrée de sauvegarde des populations.
  • Réponse au sur-aléa rupture de digues en gestion de crise :
    Définition d’une stratégie opérationnelle en cas de d’inondation par défaillance des ouvrages en fonction des aléas, de la réaction des populations, des incertitudes (anticipation), de l’acceptabilité sociale et politique…
  • Effets dominos d’un séisme :
    Déterminer les conséquences des effets domino sur l’organisation de la sauvegarde des populations afin de prioriser l’action de la Métropole et de ses communes.
  • Développement de la culture du risque et des bons réflexes :
    Diffuser et développer la culture du risque pour adapter le comportement de la population face aux risques et développer les bons réflexes. Exemples d’actions : création d’une « école de la résilience », installation de repères artistiques marqueurs des risques et de la résilience, développement d’une vidéo 3D pédagogique, création d’un lieu d’exposition, déploiement d’une « caravane du risque »…
    • Le projet
    • Communication sur les risques et la résilience
      Renforcer la connaissance sur les risques de la population, faire comprendre et mettre en avant la stratégie métropolitaine en matière de risques et de résilience ainsi que les actions menées par la collectivité notamment dans le cadre de la GIRN (développement d’une stratégie de communication et d’un plan de communication, production de supports de communication, développement d’un site internet interactif, balades commentées, réunions publiques…).
    • adaptation et résilience urbaine métropolitaine : urbanisme et bâti exposés à des risques hydrauliques », en partenariat avec le Cerema doit permettre la création d’un guide de l’aménagement et de la construction en zone inondable adapté aux enjeux de la Métropole ainsi que de faire émerger une charte de l’aménagement résilient à destination des acteurs du territoire. Un travail de co-construction et de sensibilisation avec les acteurs concernés est un axe fort de ce projet.
  • Permettre aux autres territoires alpins de capitaliser sur l’expérience grenobloise.

Ressources

  • 7 juin 2021 : Journées techniques TAGIRN 2021 : « Gestion de crise face aux risques naturels : quelle préparation ? Quels outils ? Quel rôle de intercommunalités ?
    » résumé et présentations
  • 9 décembre 2020 : Séminaire Risque torrentiel en montagne
    » résumé et présentations
  • 30 septembre 2020 : Atelier 3 : « Une approche intégrée dans la planification territoriale » – Conférence SUERA Chamonix 2020
    » résumé et présentations
  • 25 juin 2019 : Journées techniques TAGIRN 2019 « Les services de vigilance et l’alerte »
    » résumé et présentations
  • 20 juin 2019 : Séminaire Science-Décision-Action RockTheAlps : « Risque rocheux et forêts de protection », Grenoble Alpes Métropole
    » résumé et présentations
  • 18 décembre 2019 : Séminaire final du projet Espace Alpin ROCKtheALPS
    » résumé et présentations