[vc_row type= »in_container » full_screen_row_position= »middle » column_margin= »default » column_direction= »default » column_direction_tablet= »default » column_direction_phone= »default » scene_position= »center » text_color= »dark » text_align= »left » row_border_radius= »none » row_border_radius_applies= »bg » overlay_strength= »0.3″ gradient_direction= »left_to_right » shape_divider_position= »bottom » bg_image_animation= »none »][vc_column column_padding= »no-extra-padding » column_padding_tablet= »inherit » column_padding_phone= »inherit » column_padding_position= »all » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_shadow= »none » column_border_radius= »none » column_link_target= »_self » gradient_direction= »left_to_right » overlay_strength= »0.3″ width= »1/1″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » column_border_width= »none » column_border_style= »solid » bg_image_animation= »none »][divider line_type= »No Line » custom_height= »10″][vc_column_text]Ressources > Base de connaissances PARN > Cadre légal et réglemantaire
Cadre légal et réglementaire
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row type= »in_container » full_screen_row_position= »middle » column_margin= »default » column_direction= »default » column_direction_tablet= »default » column_direction_phone= »default » scene_position= »center » text_color= »dark » text_align= »left » row_border_radius= »none » row_border_radius_applies= »bg » overlay_strength= »0.3″ gradient_direction= »left_to_right » shape_divider_position= »bottom » bg_image_animation= »none »][vc_column column_padding= »no-extra-padding » column_padding_tablet= »inherit » column_padding_phone= »inherit » column_padding_position= »all » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_shadow= »none » column_border_radius= »none » column_link_target= »_self » gradient_direction= »left_to_right » overlay_strength= »0.3″ width= »1/1″ tablet_width_inherit= »default » tablet_text_alignment= »default » phone_text_alignment= »default » column_border_width= »none » column_border_style= »solid » bg_image_animation= »none »][vc_column_text]
Synthèses de la législation de l’UE
EUR-Lex : « L’accès au droit de l’Union Européenne »
http://eur-lex.europa.eu/homepage.html?locale=fr
EUR-Lex donne accès gratuitement et dans les 24 langues officielles de l’Union européenne aux produits suivants:
- Journal officiel (faisant foi) de l’Union européenne;
- droit de l’Union européenne (traités, directives, règlements, décisions, législation consolidée, etc.);
- actes préparatoires (propositions législatives, rapports, livres verts, livres blancs, etc.);
- jurisprudence de l’Union européenne (arrêts, ordonnances, etc.);
- accords internationaux;
- documents AELE;
- synthèses de la législation de l’Union, présentant les actes législatifs dans leur contexte politique, dans un langage clair;
- autres documents publics.
Il permet également de suivre les procédures conduisant à l’adoption des actes législatifs.
► Synthèses de la législation de l’UE par thème :
[/vc_column_text][divider line_type= »No Line » custom_height= »20″][toggles style= »default »][toggle color= »Default » title= »Thèmes : »][vc_row_inner column_direction= »default » column_direction_tablet= »default » column_direction_phone= »default » text_align= »left » column_margin= »default »][vc_column_inner column_padding= »no-extra-padding » column_padding_tablet= »inherit » column_padding_phone= »inherit » column_padding_position= »all » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_shadow= »none » column_border_radius= »none » column_link_target= »_self » gradient_direction= »left_to_right » overlay_strength= »0.3″ width= »1/3″ tablet_width_inherit= »default » column_border_width= »none » column_border_style= »solid » bg_image_animation= »none »][vc_column_text]
- Affaires institutionnelles
- Affaires maritimes et pêche
- Agriculture
- Aide humanitaire et protection civile
- Audiovisuel et médias
- Budget
- Commerce exterieur
- Concurrence
- Consommateurs
- Culture
- Développement
[/vc_column_text][/vc_column_inner][vc_column_inner column_padding= »no-extra-padding » column_padding_tablet= »inherit » column_padding_phone= »inherit » column_padding_position= »all » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_shadow= »none » column_border_radius= »none » column_link_target= »_self » gradient_direction= »left_to_right » overlay_strength= »0.3″ width= »1/3″ tablet_width_inherit= »default » column_border_width= »none » column_border_style= »solid » bg_image_animation= »none »][vc_column_text]
- Douanes
- Droits de l’homme
- Économie et monnaie
- Éducation, formation, jeunesse, sport
- Élargissement
- Emploi et politique sociale
- Énergie
- Entreprises
- Environnement et changement climatique
- Fiscalité
- Justice, liberté et sécurité
[/vc_column_text][/vc_column_inner][vc_column_inner column_padding= »no-extra-padding » column_padding_tablet= »inherit » column_padding_phone= »inherit » column_padding_position= »all » background_color_opacity= »1″ background_hover_color_opacity= »1″ column_shadow= »none » column_border_radius= »none » column_link_target= »_self » gradient_direction= »left_to_right » overlay_strength= »0.3″ width= »1/3″ tablet_width_inherit= »default » column_border_width= »none » column_border_style= »solid » bg_image_animation= »none »][vc_column_text]
- Lutte contre la fraude
- Marché intérieur
- Politique étrangère et de sécurité
- Politique régionale
- Recherche et innovation
- Relations extérieures
- Santé publique
- Sécurité alimentaire
- Société de l’information
- Transport
[/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][vc_column_text][/vc_column_text][/toggle][/toggles][vc_column_text]SÉLECTION THÉMATIQUE :[/vc_column_text][divider line_type= »No Line » custom_height= »20″][toggles style= »default »][toggle color= »Default » title= »Thème « Affaires institutionnelles » »][vc_column_text]L’Union européenne est à la fois un projet politique et une organisation juridique. Elle agit dans de nombreux domaines influant sur la vie quotidienne des citoyens européens. Ses politiques sont mises en place suivant des règles et des procédures définies par une série de traités.
L’Union européenne est composée de 28 États membres, qui ont délégué, à travers divers traités, certaines compétences aux institutions de l’UE. L’Union européenne dispose donc de compétences exclusives et de compétences qu’elle partage avec ses États membres. Les États membres ont aussi gardé certaines compétences réservées.
Le principe de subsidiarité constitue un élément essentiel. Il permet de déterminer quand l’UE est compétente pour légiférer, et contribue à ce que les décisions soient prises le plus près possible des citoyens.
Sélection thématique (PARN) :
- La construction européenne à travers les traités
- Le traité de Nice: mode d’emploi
- Le traité de Lisbonne: mode d’emploi
- Institutions et organes de l’Union européenne
- La Commission européenne
- Haut représentant de l’Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité
- Le Parlement européen
- Les organes consultatifs de l’UE
- Le traité de Lisbonne: introduction
- Processus décisionnel
- Actes juridiques de l’Union européenne
- Le renforcement de la démocratie européenne
- Répartition des compétences au sein de l’Union européenne
- Les révisions des traités de l’UE
- Le rôle des parlements nationaux dans les affaires européennes
- Flexibilité dans la prise de décision de l’UE: clauses passerelles, clauses de frein et clauses d’accélérateur
- Le principe de subsidiarité
- Vote à la majorité qualifiée et procédure législative ordinaire
- Politiques européennes
- Espace européen de la recherche et politique spatiale
- L’espace européen de liberté, de sécurité et de justice
- Domaines dans lesquels l’UE peut soutenir l’élaboration de politiques dans les pays de l’UE
- La politique de sécurité et de défense commune de l’Union européenne
- Politique étrangère et de sécurité à l’échelon de l’Union européenne
- Les modifications ultérieures: de l’Acte unique au traité de Nice
- Traité de Maastricht sur l’Union européenne
- L’Acte unique européen
- Le traité d’Amsterdam: mode d’emploi
- Liberté sécurité et justice
- L’Union et le citoyen
- Une politique extérieure efficace et cohérente
- Les questions institutionnelles
- Le traité de Nice: mode d’emploi
- Introduction
- Les questions institutionnelles
- Le processus décisionnel
- Les autres réformes
- Des Communautés européennes à l’Union européenne
- Les institutions, organes et organismes de l’union
- Agence exécutive pour la recherche (2014-2020)
- Règlement intérieur du Contrôleur européen de la protection des données
- Agence exécutive de l’Union européenne pour les petites et moyennes entreprises
- Agence exécutive du Conseil européen de la recherche (2014-2024)
- Les partis politiques de l’UE: financer la transparence
- Agence exécutive de l’UE pour les consommateurs, la santé, l’agriculture et l’alimentation
- Le collège des commissaires
- Élections des représentants au Parlement européen
- Les institutions
- Parlement européen :
- Conseil de l’Union européenne :
- Commission européenne :
- Organes juridictionnels :
- Cour des comptes européenne :
- Conseil européen
- Banque centrale européenne
- Les organes consultatifs
- Comité économique et social européen
- Règlement intérieur du Comité économique et social européen
- Les autres organes
- Banque européenne d’investissement (BEI) et fonds européen d’investissement (FEI)
- Financement en faveur de l’innovation et de l’entreprise (Fonds européen d’investissement)
- Priorités opérationnelles de la Banque européenne d’investissement
- Banque européenne d’investissement
- Le médiateur européen
- Le Médiateur européen
- Les organes décentralisés
- Agence européenne chargée de la sécurité des réseaux et de l’information (ENISA)
- L’Agence exécutive pour l’innovation et les réseaux
- Les agences communautaires
- GSA – Agence du système global de navigation par satellite européen
- Centre européen pour le développement de la formation professionnelle (Cedefop)
- La Fondation européenne pour la formation
- Agence de l’Union européenne pour les chemins de fer — Garantir un espace ferroviaire sûr et interopérable
- Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne
- L’Agence européenne pour la sécurité et la santé au travail
- Agence européenne pour l’environnement – Information et surveillance environnementales
- Les agences dans le domaine de la politique étrangère commune
- Les agences dans le domaine de la coopération policière et judiciaire en matière pénale
- Les agences exécutives
- Le processus décisionnel et les travaux des institutions (…)
[/vc_column_text][/toggle][toggle color= »Default » title= »Thème « Aide humanitaire et protection civile » »][vc_column_text]L’Union européenne (UE) est le principal donateur d’aide humanitaire dans le monde. Cette aide, qui prend la forme de financements, de fourniture de biens ou de services ou d’assistance technique, vise à aider à se préparer et à faire face en urgence aux crises qui affectent gravement les populations hors de l’UE.
L’action de l’UE se fonde sur les principes humanitaires fondamentaux d’humanité, de neutralité, d’impartialité et d’indépendance, et comprend trois éléments: l’aide d’urgence, l’aide alimentaire et l’aide aux réfugiés et aux personnes déplacées. La DG Aide humanitaire et protection civile (ECHO) coordonne ces actions et coopère avec les partenaires sur le terrain, en particulier les Nations unies et les organisations non gouvernementales.
Sélection thématique (PARN) :
[/vc_column_text][/toggle][toggle color= »Default » title= »Thème « Environnement et changement climatique » »][vc_column_text]L’Union européenne (UE) a élaboré au fil des décennies certaines des normes environnementales les plus strictes à l’échelle mondiale. La politique environnementale contribue à rendre l’économie de l’UE plus respectueuse de l’environnement et protège les ressources naturelles européennes, ainsi que la santé et le bien-être des personnes vivant dans l’UE.
La qualité de l’environnement est essentielle pour notre santé, notre économie et notre bien-être. Cependant, cet environnement est confronté à des défis majeurs, notamment le changement climatique, une production et une consommation non viables, ainsi que diverses formes de pollution.
Les politiques et législations environnementales de l’UE protègent les habitats naturels, préservent la salubrité de l’air et la propreté de l’eau, garantissent une élimination appropriée des déchets, améliorent les connaissances sur les substances chimiques toxiques et accompagnent les entreprises dans leur transition vers une économie durable.
Concernant le changement climatique, l’UE conçoit et met en œuvre des politiques et des stratégies relatives au climat, en jouant un rôle de chef de file dans les négociations internationales sur le climat. Elle s’est engagée à garantir la réussite de l’application de l’accord de Paris et à mettre en œuvre le système d’échange de quotas d’émission de l’UE (SEQE-UE). À cet égard, les pays de l’UE ont accepté d’atteindre divers objectifs au cours des prochaines années. L’UE vise à s’assurer que les préoccupations relatives au climat sont intégrées dans d’autres domaines politiques (comme le transport et l’énergie), mais aussi à promouvoir les technologies à faible émission de carbone et les mesures d’adaptation.
La politique environnementale de l’UE s’appuie sur l’article 11, ainsi que sur les articles 191 à 193 du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne. En vertu de l’article 191, la lutte contre le changement climatique est un objectif explicite de la politique environnementale de l’Union. Le développement durable est un objectif primordial de l’UE, qui s’engage à assurer «un niveau élevé de protection et d’amélioration de la qualité de l’environnement» (article 3 du traité sur l’Union européenne).
Sélection thématique (PARN) :
- Lutte contre le changement climatique:
- Cadre d’action européen en matière de climat et d’énergie pour la période 2020-2030
- Programme pour l’environnement et l’action pour le climat (LIFE) (2014-2020)
- Politique de l’UE en matière de changement climatique :
- Politique climatique à long terme :
- Surveillance du changement climatique et adaptation :
- Négociations climatiques des Nations unies: deuxième période d’engagement du protocole de Kyoto
- Combattre la déforestation
- Adaptation au changement climatique
- Mécanisme de coopération pour la protection civile
- Négociations climatiques des Nations unies: première période d’engagement du protocole de Kyoto
- Programme européen de surveillance de la Terre (GMES)
- Cadre pour l’innovation :
- Environnement: dispositions générales :
- Cadre politique :
- Examen de la politique de l’environnement – 2007
- Examen de la politique de l’environnement – 2008
- Sixième programme d’action pour l’environnement
- Organismes et agences :
- Surveillance de l’environnement :
- Gestion environnementale :
- Obligations générales :
- Règles de l’Union européenne en matière d’évaluation des incidences sur l’environnement
- Lignes directrices pour les aides d’État à la protection de l’environnement
- Le principe du pollueur-payeur et la responsabilité environnementale
- Principe de précaution
- Évaluation des incidences de certains plans et programmes sur l’environnement
- Inspections environnementales: critères minimaux
- Instruments de gestion :
- Instruments financiers :
- Application et contrôle du droit communautaire de l’environnement :
- Accès à la justice en matière d’environnement
- Accès à l’information, participation du public et accès à la justice
- Informations en matière d’environnement – accès du public (la convention d’Aarhus)
- Accès du public à l’information en matière d’environnement
- Application du droit communautaire environnemental en 2004
- Développement durable:
- Cadre général :
- Instruments du développement durable :
- Intégration de la politique environnementale :
- Politiques internes :
- Politiques externes :
- Obligations générales :
- Actions concernant des zones géographiques particulières
- Gestion des risques d’inondation au sein de l’Union européenne
- Faire face aux sécheresses et à la rareté de l’eau dans l’UE
- La bonne qualité de l’eau en Europe (directive-cadre sur l’eau)
- Protection de la nature et de la biodiversité:
- Biodiversité :
- Faune et flore :
- Forêts :
- Protection des sols:
- Cadre général :
- Gestion de certains sols spécifiques :
- Protection civile:
- Cadre général :
-
- Accidents environnementaux :
- Gestion des risques d’inondation au sein de l’Union européenne
- Accidents majeurs impliquant des substances dangereuses
- Renforcer la capacité de réaction aux catastrophes
- Vers une gestion communautaire des risques liés aux inondations
- Effets transfrontières des accidents industriels
- Réponse aux catastrophes naturelles ou d’origine humaine
- Réduction des risques de catastrophes dans les pays en développement
[/vc_column_text][/toggle][toggle color= »Default » title= »Thème « Politique régionale » »][vc_column_text]Eu égard à l’importance de la politique régionale, le traité sur le fonctionnement de l’Union européenne (UE) consacre cinq articles à la «cohésion économique, sociale et territoriale» (articles 174-178).
La politique régionale vise à réduire les disparités économiques, sociales et territoriales entre les régions de l’UE en soutenant la création d’emplois, la compétitivité, la croissance économique, l’amélioration de la qualité de vie et le développement durable.
Les fonds structurels et d’investissement européens aident les régions à surmonter leurs handicaps et à mettre fin à «l’exode des cerveaux» et aux autres obstacles rencontrés.
Entre 2014 et 2020, l’UE investira 325 milliards d’euros dans la croissance et l’emploi ainsi que dans la lutte contre le changement climatique, la dépendance énergétique et l’exclusion sociale.
Sélection thématique (PARN) :
- Bilan et avenir de la politique régionale
- Rapports sur la cohésion économique et sociale :
- Stratégie de Lisbonne et politique régionale :
- Communications thématiques :
- Dispositions et instruments de la politique régionale
- Renforcer la coopération territoriale européenne
- Fonds européen de développement régional (2014-2020)
- Dispositions communes aux FEDER – FSE – Fonds de cohésion – FEADER – FEAMP (2014-2020)
- Fonds social européen
- Fonds de cohésion (2014-2020)
- Fonds structurels – ventilation annuelle des ressources totales par pays, 2014-2020
- Coopération régionale transfrontalière — Éligibilité à un financement
- 2007-2013: Cadre général
- 2007-2013: Volets développement rural et pêche
-
-
- Orientations stratégiques de l’Union européenne pour le développement rural
- Fonds européen agricole pour le développement rural (FEADER)
- Fonds européen pour la pêche
- Financement de la politique agricole commune
- Mesures spécifiques en faveur des îles mineures de la mer Égée
- Modalités d’exécution du règlement relatif au FEP
- Mesures spécifiques en faveur des régions ultrapériphériques
-
- 2000-2006: Cadre général
-
-
- Préparation des futurs États membres à la mise en œuvre de la politique régionale pour la période 2004-2006
- Orientations pour les programmes de la période 2000-2006
- Orientations révisées pour les programmes de la période 2000-2006
- Orientations indicatives complémentaires pour les futurs États membres
- La réforme de la politique structurelle
-
- 2000-2006: 3 Objectifs prioritaires
- 2000-2006: 4 Initiatives Communautaires
- 2000-2006: Zones spécifiques
-
-
- Un partenariat renforcé pour les régions ultrapériphériques
- Action communautaire en faveur des régions limitrophes des pays candidats
- 2000 – 2006 : soutien au développement rural dans le cadre du Fonds européen d’orientation et de garantie agricole (FEOGA)
- Irlande du Nord: programme PEACE II (2000-2006)
-
- 2000-2006: Fonds structurels
- Fonds de cohésion
- Fonds de solidarité de l’Union européenne (FSUE)
- Gestion de la politique régionale
- Informations relatives aux projets relevant de la politique de cohésion financés par l’Union européenne — Règles et modèles
- Lier financement de l’Union européenne et bonne gouvernance économique
- Fonds structurels et d’investissement européens — Travailler en partenariat
- Aides d’État: lignes directrices concernant les aides d’État à finalité régionale pour la période 2014-2020
- Réseaux transeuropéens
- Transports :
- Énergie :
- Télécommunications :
- Aménagement du territoire
- Collectivités territoriales
- Approche thématique
- Aides publiques d’État à finalité régionale et politique régionale :
- Services d’intérêt général :
-
-
-
- Réforme des règles de l’UE en matière d’aides d’État applicables aux services d’intérêt économique général
- Livre blanc sur les services d’intérêt général
- Livre vert sur les services d’intérêt général
- Les services sociaux d’intérêt général
- Encadrement par l’UE des aides d’État sous forme de compensations de service public
-
-
- Statistiques européennes
[/vc_column_text][/toggle][toggle color= »Default » title= »Thème « Recherche et innovation » »][vc_column_text]La recherche et l’innovation contribuent directement à notre prospérité ainsi qu’au bien-être des individus et de la société en général. Le traité de Lisbonne renforce l’action de l’Union européenne (UE) dans ce domaine de recherche dans le but de créer un espace européen de la recherche.
Doté d’un budget de près de 80 milliards d’euros, Horizon 2020 est le programme de recherche et d’innovation de l’UE pour la période 2014-2020. Cet instrument a été conçu pour mettre en œuvre l’Union de l’innovation, une des initiatives phares d’Europe 2020. Le programme Horizon 2020 vise à faire de l’UE une économie de la connaissance de premier plan en termes de sciences et d’innovation et à garantir la compétitivité de l’Europe dans le monde.
Sélection thématique (PARN) :
- Cadre général:
- Assurer le bien-fondé des aides d’État à la recherche, au développement et à l’innovation
- L’accès aux informations scientifiques et leur conservation
- Horizon 2020: programme spécifique d’exécution (2014-2020)
- Dynamiser l’Espace européen de la recherche
- Le programme de recherche et d’innovation de l’UE Horizon 2020 (2014-2020)
- Horizon 2020: règles de participation et de diffusion (2014-2020)
- Programme Euratom de recherche et de formation (2014-2018)
- Partenariats public-privé: promouvoir l’innovation et la croissance en Europe
- Miser sur la recherche et l’innovation européennes
- Dispositions générales :
-
-
- Des subventions plus efficaces et plus accessibles pour la recherche
- Programmation conjointe de la recherche
- Coopération internationale dans la recherche et l’innovation
- Cadre stratégique pour la coopération scientifique et technologique internationale
- Une Union de l’innovation
- Une stratégie d’innovation élargie pour l’UE
- Partenariat européen pour les chercheurs
- Gestion de la propriété intellectuelle par les organismes publics de recherche
- Comité de l’Espace européen de la recherche (ERAB)
- Une Europe réellement innovante et moderne
- La politique régionale au service de l’innovation
- Cadre juridique applicable à un Consortium pour une infrastructure de recherche européenne (ERIC)
- Encadrement communautaire des aides d’État à la recherche et au développement
- Programmes et initiatives
- Septième programme-cadre (2007-2013)
- Septième programme-cadre: actions du Centre commun de recherche (Joint Research Centre – JRC)
- Agence exécutive pour la recherche
- Programme spécifique «Personnes»
- Septième programme-cadre: Euratom
- Programme-cadre pour l’innovation et la compétitivité (CIP) (2007-2013)
- Programme spécifique «Capacités»
- Agence exécutive du Conseil européen de la recherche
- Programme spécifique «Coopération»
- Programme spécifique Idées
- Septième programme-cadre (2007-2013)
- Sixième Programme-cadre 2002-2006
- Septième programme-cadre (2007-2013)
-
- La recherche au service des autres politiques:
- Mesures transversales
- Domaines de recherche
- Environnement, santé et sécurité :
- Dimension internationale et élargissement
[/vc_column_text][/toggle][/toggles][vc_column_text]FOCUS THÉMATIQUE :
Directives et règlements européens sur la gestion des risques naturels et l’adaptation au changement climatique en montagne :[/vc_column_text][divider line_type= »No Line » custom_height= »20″][toggles style= »default »][toggle color= »Default » title= »Stratégie de l’UE pour la région alpine (2015) »][vc_column_text]SYNTHÈSE DU DOCUMENT
Communication de la Commission COM(2015) 366 final – Vers une région alpine plus prospère
SYNTHÈSE
QUEL EST L’OBJET DE CETTE COMMUNICATION?
Pour aider la région alpine à faire face à différents problèmes économiques, démographiques et environnementaux, la communication de la Commission européenne propose une stratégie de l’UE pour la région alpine (Eusalp). Cette stratégie comprend un plan d’action qui vise à promouvoir la prospérité sociale et économique à long terme dans la région.
POINTS CLÉS
L’Eusalp est la quatrième stratégie macrorégionale de l’UE *. Elle concerne sept pays et 48 régions dont:
- cinq pays de l’UE: Allemagne, France, Italie, Autriche et Slovénie, et
- deux pays tiers: Liechtenstein et Suisse.
Défis à relever
La région alpine fait face à plusieurs problèmes nécessitant une réponse commune :
- les tendances démographiques: vieillissement de la population, faible densité de population dans les zones de montagne centrales et nouvelles tendances de migration (c’est-à-dire le déplacement de la population vers les zones urbaines en raison d’un manque d’infrastructures dans les zones rurales);
- une forte vulnérabilité au changement climatique et à ses effets sur l’environnement, la biodiversité et les conditions de vie des personnes;
- une position géographique particulière en Europe, qui en fait une région de transit;
- la gestion de la demande d’énergie;
- un degré élevé de saisonnalité, en particulier dans certaines zones touristiques;
- d’importantes disparités socio-économiques entre les différentes zones de la région.
Objectifs de la stratégie: trois thématiques, un horizontal
Une coopération plus efficace entre les régions et les États est nécessaire pour relever ces défis. C’est pourquoi la stratégie se base sur trois objectifs thématiques orientés vers l’action:
Actions thématiques
- un accès équitable à l’emploi en s’appuyant sur la forte compétitivité de la région, en stimulant la croissance économique et l’innovation. Les actions dans ce domaine peuvent prendre la forme d’activités de recherche sur des produits et services propres aux Alpes et d’approches innovantes pour consolider la durabilité de la région;
- l’assurance d’une accessibilité interne et externe et une connectivité pour tous les habitants de la région: les actions sont conçues pour promouvoir une meilleure mobilité au travers de différentes solutions de transport (intermodalité et interopérabilité) pour le transport de passagers et de marchandises et l’élargissement de l’accès téléphonique et à l’internet dans les zones reculées;
- une transformation de la région en une région attrayante et durable sur le plan environnemental en mettant en commun les ressources mutuelles afin de:
- préserver l’environnement et le patrimoine culturel,
- promouvoir la production durable de solutions énergétiques fiables.
En outre, un quatrième objectif transversal visera à créer un modèle de gouvernance macrorégionale solide pour améliorer la coopération. Dans ce contexte, la Commission interviendra en tant que facilitateur indépendant et assurera une coordination stratégique en partenariat avec les pays et régions participants, conformément au principe de subsidiarité.
Mise en œuvre et valeur ajoutée de l’UE
L’Eusalp vise à proposer un cadre de coopération au sein duquel les sujets macrorégionaux peuvent être abordés conjointement afin d’arriver à une plus grande cohérence, mais également d’associer un plus grand nombre d’acteurs issus de différents niveaux dans toutes les régions concernées.
L’Eusalp vise également à tisser un nouveau lien entre les zones métropolitaines et montagneuses (et les zones qui se trouvent entre les deux).
La stratégie s’appuiera sur les mêmes principes clés qui s’appliquent aux stratégies macrorégionales existantes:
- pas de nouveaux fonds de l’UE,
- pas de nouvelles structures formelles de l’UE, et
- pas de nouvelle législation de l’UE.
Elle comptera également sur une approche coordonnée, des synergies et l’utilisation plus efficace des fonds de l’UE et d’autres instruments financiers existants.
La stratégie mobilisera et réunira les programmes 2014-2020 de la politique régionale de l’UE (relevant par exemple des Fonds structurels et d’investissement européens), ainsi que d’autres cadres stratégiques nationaux et régionaux dans ce domaine.
TERMES CLÉS
La stratégie macrorégionale est un cadre intégré qui relève les défis communs auxquels est confrontée une zone géographique donnée.
L’UE compte actuellement quatre stratégies macrorégionales:
- la stratégie de l’UE pour la région de la mer Baltique,
- la stratégie de l’UE pour la région du Danube,
- la stratégie de l’UE pour la région de l’Adriatique et de la mer Ionienne,
- la stratégie de l’UE pour la région alpine.
CONTEXTE
ACTE
- Communication de la Commission au Parlement européen, au Conseil, au Comité économique et social européen et au Comité des régions relative à une stratégie de l’Union européenne pour la région alpine [COM(2015) 366 final du 28.7.2015]
ACTES LIÉS
- Document de travail des services de la Commission – Plan d’action accompagnant la communication de la Commission au Parlement européen, au Conseil, au Comité économique et social européen et au Comité des régions relative à une stratégie de l’Union européenne pour la région alpine [SWD(2015) 147 final du 28.7.2015]
- Conclusions du Conseil européen des 19 et 20 décembre 2013
Dernière modification 16.11.2015
http://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/?uri=legissum:260305_1[/vc_column_text][/toggle][toggle color= »Default » title= »Agence européenne pour l’environnement – Information et surveillance environnementales (2009) »][vc_column_text]Règlement (CE) no 401/2009 – Agence européenne pour l’environnement et réseau européen d’information et d’observation pour l’environnement
ACTE
Règlement (CE) no 401/2009 du Parlement européen et du Conseil du 23 avril 2009 relatif à l’Agence européenne pour l’environnement et au réseau européen d’information et d’observation pour l’environnement
SYNTHÈSE
QUEL EST L’OBJET DE CE RÈGLEMENT?
Ce règlement précise les objectifs et cibles de l’Agence européenne pour l’environnement (AEE) et du réseau européen d’information et d’observation pour l’environnement (Eionet). Il leur permet ainsi de fournir des informations pour appuyer la formulation de la politique environnementale de l’Union européenne (UE).
POINTS CLÉS
L’AEE est une agence de l’UE dont l’objectif est de protéger et d’améliorer l’environnement et de soutenir le développement durable. Elle y contribue en fournissant des informations objectives, fiables et comparables pour que:
- des mesures de protection de l’environnement soient adoptées;
- les résultats de ces mesures soient évalués;
- le public soit tenu informé de l’état de l’environnement;
- les pays de l’UE disposent du soutien technique et scientifique requis.
Ses principales missions sont les suivantes:
- collecter, traiter et analyser les données afin de fournir à l’UE les informations objectives nécessaires à l’élaboration de politiques environnementales efficaces;
- contribuer à la surveillance des mesures environnementales;
- collationner, évaluer et diffuser les données sur l’état de l’environnement auprès du grand public;
- assurer la comparabilité des données environnementales au niveau européen;
- promouvoir l’intégration des informations européennes aux programmes internationaux de surveillance de l’environnement comme ceux mis en place par l’ONU;
- stimuler le développement de méthodes d’évaluation du coût des dommages causés à l’environnement et des politiques de prévention, de protection et de restauration de l’environnement;
- stimuler l’échange d’informations sur les meilleures technologies disponibles pour prévenir ou réduire les dommages causés à l’environnement;
- publier, tous les cinq ans, un rapport sur l’état, l’évolution et les perspectives de l’environnement.
Les informations traitées concernent notamment:
- la qualité de l’air et la pollution sonore,
- la qualité de l’eau,
- l’état des sols et de la faune et la flore,
- l’utilisation du sol et les ressources naturelles,
- la gestion des déchets,
- les substances chimiques,
- la protection du littoral et du milieu marin,
- le changement climatique et l’adaptation au changement climatique.
Le conseil d’administration de l’AEE est composé d’un représentant de chacun des pays membres, de deux représentants de la Commission européenne et de deux experts scientifiques nommés par le Parlement européen. Le directeur exécutif est responsable de la gestion quotidienne.
L’AEE coopère avec les autres organismes européens et internationaux, comme l’office statistique de l’UE (Eurostat), le Centre commun de recherche de la Commission européenne, le Programme des Nations Unies pour l’environnement et l’Organisation mondiale de la santé.
L’Eionet, dont la coordination est assurée par l’AEE, est le réseau d’information de l’UE sur les questions environnementales. Tous les pays de l’UE y sont représentés, de même que l’Islande, le Liechtenstein, la Norvège, la Suisse et la Turquie.
À PARTIR DE QUAND LE RÈGLEMENT S’APPLIQUE-T-IL?
Il s’applique à partir du 10 juin 2009.
CONTEXTE
Site Internet de l’Agence européenne pour l’environnement
RÉFÉRENCES
Acte | Entrée en vigueur | Délai de transposition dans les États membres | Journal officiel de l’Union européenne |
Règlement (CE) no 401/2009 | 10.6.2009 | – | JO L 126 du 21.5.2009, p. 13-22 |
Dernière modification 22.09.2015
…[/vc_column_text][/toggle][toggle color= »Default » title= »Réponse aux catastrophes naturelles ou d’origine humaine (2008) »][vc_column_text]Face à la multiplication des catastrophes naturelles et d’origine humaine dans le monde, l’Union européenne doit se doter de moyens de gestion et de réaction plus efficaces et plus rapides.
ACTE
Communication de la Commission au Parlement européen et au Conseil du 5 mars 2008 « Renforcer la capacité de réaction de l’Union européenne en cas de catastrophes » [COM(2008) 130 final – Non publié au journal officiel].
SYNTHÈSE
La Commission formule des propositions dans l’objectif de renforcer la capacité de réaction de l’Union européenne en cas de catastrophe. La notion de catastrophe est utilisée au sens large et recouvre les catastrophes naturelles, les catastrophes d’origine humaine et les situations d’urgence liées aux conflits, dans l’Union européenne (UE) mais également hors de ses frontières.
Réagir efficacement aux catastrophes nécessite d’adopter une approche exhaustive, intégrant évaluation des risques, prévision, prévention, préparation et réhabilitation. Cela requiert également une mobilisation de l’ensemble des politiques, instruments et services à disposition de la Communauté et des États membres.
Planification, coordination et réaction rapide
La Commission insiste sur la nécessité de renforcer les liens entre protection civile et politique environnementale, afin de retirer tout le bénéfice des mesures préventives incluses dans cette dernière, ainsi que sur l’importance de développer des synergies avec les acteurs internationaux, nationaux et locaux, pour une meilleure coordination.
La Commission suggère notamment de rationaliser la coordination entre elle, le Conseil et les États membres pour les crises de grande ampleur nécessitant le recours à la fois aux instruments communautaires et à ceux de la politique étrangère de sécurité (PESC). Elle évoque l’opportunité de mettre en place des équipes conjointes de planification et d’intervention ainsi que la mise au point de procédures opérationnelles standard adaptées aux différents types de catastrophes et de zones géographiques.
La Commission rappelle qu’elle gère déjà de nombreux systèmes d’alerte rapide (« RAS ») en cas de catastrophes sectorielles spécifiques. C’est également elle qui décide de l’aide humanitaire communautaire et qui coordonne le mécanisme communautaire de protection civile. La Commission dispose en outre de nombreux instruments dont elle peut jouer pour financer des mesures de prévention des catastrophes ou alléger le coût financier lié à la prise en charge des opérations d’urgence par les autorités publiques. Parmi ces instruments figurent le Fonds européen de développement régional (FEDER), le Fonds de solidarité de l’Union européenne (FSUE), les fonds consacrés au développement rural, l’instrument financier pour la protection civile (CPFI) et l’instrument de stabilité.
La Commission dispose également de plusieurs outils de coordination pour gérer plus efficacement les situations de crise, tel ARGUS, un mécanisme interne mis en place en juin 2006 afin de réagir aux crises multidimensionnelles, ou la plateforme de crise RELEX, créée suite au Tsunami de 2004, qui contribue à la coordination politique entre la Commission et les États membres en cas de crise extérieure.
Améliorer l’aide humanitaire
La Commission souhaite améliorer les capacités de l’Union européenne en matière d’aide humanitaire. Cela passe notamment par l’identification des lacunes existantes en matière de logistique, le renforcement d’une capacité d’évaluation et de réaction rapide sur le terrain et l’amélioration de la liaison avec les différents acteurs concernés.
Constatant que la majorité des catastrophes survenant dans les pays tiers n’entraînent aucune réaction internationale, et que lorsqu’une opération internationale est lancée, il faut souvent plusieurs jours pour que les secours extérieurs parviennent sur les lieux, la Commission juge important d’avoir une présence active d’experts sur le terrain et de veiller à ce que les autorités locales aient la capacité de réagir immédiatement.
Renforcer la protection civile
Dans le domaine de la protection civile, la Commission propose de renforcer le centre de suivi et d’information afin qu’il joue le rôle de centre opérationnel de l’intervention de l’Union européenne, et d’améliorer ses capacités de réaction, en tenant en réserve des moyens qui pourront intervenir rapidement en cas de catastrophe.
La Commission entend lancer des études et financer divers projets dans le but de développer une base de connaissance sur la capacité de l’UE à intervenir rapidement en cas de désastre majeur dans un Etat membre ou un état tiers. Cela inclura des études de scénarios visant l’identification de lacunes éventuelles et l’expérimentation de différentes modalités permettant d’assurer le maintien en réserve de capacités d’interventions rapide. Sur cette base elle présentera les propositions appropriées.
La Commission suggère de prendre d’autres mesures en parallèle, telles la création d’un réseau européen de formation à l’aide d’urgence en cas de catastrophe, le développement des systèmes d’alerte rapide, la promotion de l’utilisation du numéro d’appel unique pour les urgences en Europe (le « 112 »).
La communication comprend une annexe dédiée aux feux de forêt afin d’exposer concrètement comment des mesures complémentaires de prévention, de préparation, de réaction et de redressement pourraient être associées pour faire face à telle une catastrophe de manière plus efficace.
Contexte
La multiplication des grandes catastrophes au cours de ces dernières années (tsunami en Asie en 2004, guerre au Liban en 2006, incendies de forêts et inondations en Europe en 2007) et le risque de voir augmenter la fréquence des catastrophes dues au changement climatique, rendent indispensables l’adaptation et la modernisation des moyens de réaction de l’Union européenne.
Le Parlement européen et le Conseil européen de décembre 2007 ont invité le Conseil et la Commission à utiliser au mieux le mécanisme communautaire de protection civile et l’instrument financier pour la protection civile, afin de se préparer à faire face à des situations d’urgence majeures. Par ailleurs, le Parlement européen et le Conseil européen ont signé en décembre 2007 le consensus européen sur l’aide humanitaire, qui constitue un cadre détaillé pour une mise en œuvre plus efficace de l’aide humanitaire au niveau de l’Union européenne.
La Commission juge en outre qu’une politique de gestion des désastres doit comprendre des mesures visant à prévenir ce type d’évènement. Elle annonce son intention de présenter une approche intégrée de la prévention des désastres dans l’Union européenne, ainsi qu’une stratégie européenne sur la réduction des risques de catastrophe dans les pays en développement.
Dernière modification le: 28.07.2008
http://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/?uri=legissum:ev0001[/vc_column_text][/toggle][toggle color= »Default » title= »Gestion des risques d’inondation au sein de l’Union européenne (2007) »][vc_column_text]Les inondations représentent une menace pour la santé humaine, le patrimoine culturel, l’économie et l’environnement. C’est pourquoi l’Union européenne (UE) établit un cadre permettant d’évaluer, de cartographier et de réduire les risques d’inondations en Europe.
ACTE
Directive 2007/60/CE du Parlement européen et du Conseil du 23 octobre 2007 relative à l’évaluation et à la gestion des risques d’inondations
SYNTHÈSE
Les inondations représentent une menace pour la santé humaine, le patrimoine culturel, l’économie et l’environnement. C’est pourquoi l’Union européenne (UE) établit un cadre permettant d’évaluer, de cartographier et de réduire les risques d’inondations en Europe.
QUEL EST L’OBJET DE LA DIRECTIVE?
La directive vise à établir un cadre de mesures permettant de réduire les risques d’inondations au sein de l’UE en évaluant ces risques dans les bassins hydrographiques et les régions côtières, en dressant la carte des zones qui sont susceptibles d’être fortement inondées et en élaborant des plans de gestion des risques d’inondations reposant sur une coopération étroite entre les pays de l’UE.
POINTS CLÉS
- La directive exige que les pays de l’UE évaluent les risques d’inondations dans les régions côtières et les bassins hydrographiques en récoltant des informations sur ces zones, notamment l’historique des inondations passées et des cartes indiquant les frontières, l’utilisation des terres et la topographie, et en déterminant la probabilité de futures inondations significatives et leurs conséquences. Ces évaluations qui ont été publiées pour la première fois le 22 décembre 2011 seront réexaminées d’ici au 22 décembre 2018, puis tous les six ans.
- Les pays de l’UE doivent également dresser des cartes qui identifient les zones exposées à des risques significatifs d’inondations et indiquent des scénarios (reposant sur une probabilité forte, moyenne ou faible d’inondations). Ces cartes qui ont été publiées pour la première fois le 22 décembre 2013 doivent être réexaminées tous les six ans.
- Les pays de l’UE doivent également établir des plans de gestion des risques d’inondation qui sont coordonnés au niveau des districts hydrographiques ou côtiers. Ces plans fixent des objectifs de gestion des risques d’inondations en se concentrant principalement sur la prévention (par exemple éviter de construire dans des zones sujettes aux inondations), la protection (des mesures visant à réduire la probabilité d’inondations dans un endroit spécifique) et la préparation (informer le public sur les risques d’inondations et ce qu’il convient de faire en cas d’inondations). Ces plans doivent être achevés d’ici au 22 décembre 2015, puis réexaminés tous les six ans.
- Les cartes des risques d’inondations et les plans de gestion sont coordonnés avec la directive-cadre sur l’eau (DCE). La mise en œuvre de la DCE, de la présente directive et d’autres directives liées à l’eau est guidée par la stratégie de mise en œuvre commune, qui vise également à intégrer les politiques de l’eau à d’autres politiques au sein de l’UE, telle que l’agriculture, le transport ou la recherche et le développement régional.
CONTEXTE
Les inondations sont des phénomènes naturels qui ne peuvent pas être entièrement évités, mais certaines activités humaines en augmentent la probabilité et l’impact. À l’avenir, les risques d’inondations et l’ampleur des dégâts augmenteront en raison du changement climatique, de la gestion inadaptée des cours d’eau, de la construction dans les zones inondables et du nombre croissant de personnes et d’habitations dans ces zones.
Compte tenu du fait que la plupart des bassins hydrographiques de l’Europe sont partagés entre les pays, une action au niveau de l’UE est plus efficace, car elle permet de mieux évaluer les risques et de coordonner les mesures prises par les pays de l’UE.
Pour plus d’informations, consultez le site internet sur la directive «inondations» de la Commission européenne.
RÉFÉRENCES
Acte | Entrée en vigueur | Délai de transposition dans les pays de l’UE | Journal officiel |
Directive 2007/60/CE | 26.11.2007 | 25.11.2009 | JO L 288 du 6.11.2007, p. 27-34 |
Dernière modification 22.04.2015
http://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/?uri=legissum:l28174[/vc_column_text][/toggle][toggle color= »Default » title= »Adaptation au changement climatique (2007) »][vc_column_text]Ce livre vert lance une consultation sur l’orientation future de la politique européenne en ce qui concerne l’adaptation au changement climatique. Il expose les raisons pour lesquelles une action est nécessaire et les principales lignes directrices de cette action.
ACTE
Livre vert de la Commission, du 29 juin 2007, sur l’adaptation au changement climatique en Europe : les possibilités de l’Union européenne [COM(2007) 354 final – Non publié au Journal officiel].
SYNTHÈSE
Dans ce livre vert, la Commission expose les grandes lignes de l’action communautaire pour l’adaptation de l’UE au changement climatique et pose une série de questions afin que les parties intéressées évaluent si l’orientation présentée par la Commission les satisfait, fassent part de leurs souhaits concernant les priorités de l’UE et proposent éventuellement des idées supplémentaires. Sur la base des contributions et réactions au présent livre vert, à envoyer avant le 30 novembre 2007, la Commission décidera de l’orientation à venir de son action.
La politique de l’Union européenne (UE) vise à atténuer l’impact du changement climatique en limitant l’augmentation de la température moyenne du globe à 2°C par rapport aux niveaux de l’ère préindustrielle. La réalisation de cet objectif implique de réduire de manière importante les émissions de gaz à effet de serre, comme l’a annoncé la stratégie de l’UE sur le changement climatique et ainsi que l’a décidé le Conseil européen en mars 2007.
La nécessité de l’adaptation de l’Europe
Une modification du climat est toutefois inéluctable et il en résultera des impacts significatifs, liés entre autres à l’augmentation des températures et des précipitations, à la raréfaction des ressources en eau et à la hausse de la fréquence des tempêtes. Les mesures d’atténuation doivent donc être complétées par des mesures d’adaptation visant à faire face à ces impacts. L’adaptation doit porter autant sur les changements actuels que sur les changements à venir et qui doivent être anticipés.
Parmi les impacts dus au changement climatique au niveau mondial, le livre vert cite en particulier la sécheresse et les inondations, la diminution de l’accès à l’eau potable, la perte de biodiversité et la dégradation d’écosystèmes, la hausse du risque de famines, les mouvements de populations liés à l’élévation du niveau des mers dans les deltas, ainsi que les incidences sur la santé liées à l’augmentation de la fréquence des phénomènes météorologiques extrêmes et des maladies dépendantes des conditions climatiques.
En Europe, la température moyenne a déjà augmenté de près de 1°C pendant le siècle dernier, ce qui a d’ores et déjà modifié le rythme des précipitations : certaines régions reçoivent plus de pluies et de neige tandis que d’autres font face à des épisodes de sécheresse plus fréquents. Les zones les plus vulnérables sont l’Europe méridionale et le bassin méditerranéen, les zones montagneuses, les zones côtières, les plaines alluviales densément peuplées, la Scandinavie et la région arctique.
Les secteurs économiques qui dépendent des conditions climatiques seront fortement affectés par le changement climatique, en particulier l’agriculture, la foresterie, la pêche, le tourisme balnéaire et de montagne, ainsi que les secteurs de la santé, des services financiers et des assurances. Par ailleurs, le secteur de l’énergie et la consommation énergétique seront également affectés, notamment du fait de la diminution de la quantité d’eau destinée à alimenter les barrages hydroélectriques et à refroidir les centrales thermiques et nucléaires dans les régions victimes de hausses de températures ou de réduction des précipitations et de la couverture neigeuse, ainsi que du fait des risques portant sur les infrastructures énergétiques à cause des tempêtes et des inondations, et de l’augmentation de la demande d’électricité liée à la climatisation.
Une action rapide destinée à adapter l’UE au changement climatique sera beaucoup moins coûteuse que les dommages qui résulteront de ce phénomène. C’est ce qu’indiquent, entre autres, le rapport Stern (EN) et les résultats d’études comme celles menées dans le cadre du projet PESETA (EN) du Centre commun de recherche de la Commission européenne. En ce qui concerne les effets pour lesquels les projections sont suffisamment fiables, l’adaptation doit donc commencer dès maintenant.
Du simple citoyen jusqu’au décideur, dans le secteur privé comme dans le secteur public, tout le monde a la possibilité de jouer un rôle dans la mise en œuvre des mesures d’adaptation. Les actions doivent être menées au niveau le plus approprié et être complémentaires, tout particulièrement entre les autorités publiques. Par exemple, au niveau national, l’accent pourrait être mis sur l’amélioration de la gestion des catastrophes et des crises, en particulier la prévention des risques (par exemple au moyen de cartographies des zones vulnérables) et l’intervention rapide en cas de catastrophe, ainsi que sur la mise au point de stratégies d’adaptation. Au niveau des autorités régionales, l’aménagement de l’espace est un domaine privilégié pour l’adaptation aux conséquences du changement climatique. Au niveau local, les efforts devraient porter sur les modalités pratiques de gestion et d’utilisation des terres et la sensibilisation des populations. Néanmoins, les compétences sont réparties de façon différente dans chacun des État membres. Par conséquent il est difficile de généraliser ces exemples.
Le niveau européen, quant à lui, offre l’avantage d’une approche intégrée et coordonnée, permettant de faire face à des conséquences transfrontières et qui impliquent de nombreuses politiques sur lesquelles l’UE a une influence significative.
L’action de l’UE en vue de l’adaptation
À l’échelle communautaire, quatre piliers d’action peuvent être identifiés : l’action immédiate dans l’UE lorsque les connaissances sont suffisantes, l’intégration de l’adaptation dans l’action extérieure de l’UE, l’amélioration des connaissances là où des lacunes subsistent, la participation de toutes les parties intéressées à l’élaboration de stratégies d’adaptation.
Concernant le premier pilier, une action immédiate doit être envisagée pour intégrer la question de l’adaptation au changement climatique dans la législation et un certain nombre de politiques. Cette intégration portera sur des secteurs qui sont ou seront fortement affectés par le changement climatique, tels que l’agriculture et la sylviculture, les transports, la santé, l’eau, la pêche, les écosystèmes et la biodiversité, ainsi que les questions transversales telles que les évaluations d’impact et la protection civile. Parallèlement, l’adaptation offrira des opportunités de débouchés technologiques et de développement, par exemple dans le cas des industries et des services ou encore des technologies de l’énergie.
En outre, il est possible d’intégrer immédiatement la question de l’adaptation dans les programmes de financement communautaires et dans les projets financés par ce biais, en particulier les projets d’infrastructures. Les programmes concernés sont, entre autres, le Fonds de cohésion, le Fonds européen de développement régional, le Fonds européen agricole pour le développement rural, le Fonds social européen, le Fonds européen pour la pêche ainsi que LIFE+.
De nouvelles réponses stratégiques peuvent également être mises en œuvre immédiatement. Ainsi, d’ici à 2009, la Commission souhaite procéder à une vérification systématique des effets du changement climatique sur l’ensemble des domaines d’action de l’UE et des dispositions législatives communautaires, et proposer de nouvelles mesures concrètes. Les perspectives de développement des technologies liées à l’adaptation doivent être examinées en coopération étroite avec le secteur privé. La reconstruction des dégâts issus du changement climatique sollicitera davantage de financement à l’avenir, ce qui impliquera de trouver des solutions novatrices pour les secteurs des assurances et des services financiers.
Concernant le deuxième pilier, la Commission estime que la politique étrangère et de sécurité commune peut jouer un rôle important, de même que les relations bilatérales ou multilatérales malgré la diversité des situations. Les pays en développement sont très vulnérables et les pays les plus pauvres seront les plus durement touchés. Il appartient aux pays développés – du fait de leur responsabilité historique dans l’accumulation de la majeure partie de gaz à effet de serre dans l’atmosphère – de soutenir leur adaptation, en particulier par le partage d’expérience, ainsi que via les stratégies de réduction de la pauvreté, la planification, l’établissement du budget et les partenariats existants. Ce soutien pourra être apporté dans le contexte de la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, du plan d’action de l’UE sur le changement climatique et le développement et de l’alliance mondiale pour la lutte contre le changement climatique.
La coopération et le dialogue devront être renforcés avec les pays voisins, en particulier dans le cadre de la politique de voisinage, ainsi qu’avec les autres pays industrialisés qui rencontrent des problèmes analogues à ceux de l’UE. Enfin, les échanges de biens et de services durables, en particulier concernant les écotechnologies, doivent être également développés.
Concernant le troisième pilier, la Commission estime qu’il est possible de réduire, grâce à une approche intégrée, intersectorielle et globale de la recherche, les incertitudes en ce qui concerne la précision des prévisions, les effets du changement climatique et les coûts et les avantages des mesures d’adaptation. Parmi les travaux de recherche à entreprendre, la Commission recommande, entre autres, la mise au point de méthodes globales et intégrées, d’indicateurs et de modèles à long terme, l’amélioration des prévisions à l’échelle régionale et locale et de l’accès aux données existantes, l’analyse approfondie des effets du changement climatique sur les écosystèmes et des moyens d’augmenter la capacité de résistance de ces derniers, la promotion des systèmes d’information, ou encore le renforcement des liens entre les scientifiques en Europe et en dehors de l’UE.
Concernant le quatrième pilier, la Commission estime qu’il est nécessaire d’instaurer un dialogue structuré avec les parties et la société civile concernées par le besoin d’adaptation en Europe, notamment celles qui viennent de secteurs économiques qui seront particulièrement touchées par le changement climatique. Elle prévoit d’envisager la création d’un groupe consultatif européen composé de décideurs, de scientifiques et de représentants des organisations de la société civile, et chargé de donner son avis sur les travaux de plusieurs groupes de travail œuvrant sous l’égide de la Commission.
See also
Des informations complémentaires sur l’adaptation au changement climatique figurent sur le site internet de la direction générale de l’environnement de la Commission européenne consacré à l’adaptation au changement climatique (EN).
Dernière modification le: 05.09.2007
http://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/AUTO/?uri=legissum:l28193[/vc_column_text][/toggle][toggle color= »Default » title= »Nomenclature commune des unités territoriales statistiques (NUTS) (2003) »][vc_column_text]SYNTHÈSE DU DOCUMENT:
QUEL EST L’OBJET DE CE RÈGLEMENT?
- Il définit les règles relatives à la nomenclature des unités territoriales statistiques (NUTS), un système utilisé essentiellement afin d’évaluer les niveaux d’éligibilité aux fonds structurels de l’Union européenne (UE), et confère un statut juridique à la NUTS.
- Il contient également des règles pour les modifications ultérieures de la nomenclature. Cela permet de garantir que les données concernent la même unité régionale pendant un certain laps de temps. C’est important, particulièrement pour les séries chronologiques statistiques.
POINTS CLÉS
La hiérarchie de la nomenclature NUTS
Pour chaque pays de l’UE, les subdivisions régionales sont réparties selon une hiérarchie de trois niveaux sur la base de seuils démographiques minimaux et maximaux:
- NUTS 1: grandes régions socio-économiques, par exemple Länder allemands, régions belges, régions polonaises, macro-régions roumaines;
- NUTS 2: régions de base pour l’application de politiques régionales, par exemple provinces belges, régions danoises, régions tchèques (oblasti);
- NUTS 3: petites régions pour diagnostics particuliers, par exemple provinces bulgares (oblasti), provinces italiennes.
Le troisième niveau est une subdivision du deuxième niveau, le deuxième niveau une subdivision du premier et le premier niveau une subdivision des pays. La nomenclature NUTS ne s’applique pas au niveau local (municipalités). Lorsque l’ensemble de la population d’un pays de l’UE se trouve en dessous du seuil minimal pour un niveau NUTS donné, le pays en lui-même constitue une unité territoriale NUTS de ce niveau.
Critères de classification
Les unités administratives existant dans les pays de l’UE doivent être prises en compte dans la nomenclature NUTS. Le niveau NUTS auquel un niveau administratif existant correspond est déterminé sur la base de la taille moyenne de la population de ses unités administratives comme suit:
Niveau | Population minimale | Population maximale |
NUTS 1 | 3 millions | 7 millions |
NUTS 2 | 800 000 | 3 millions |
NUTS 3 | 150 000 | 800 000 |
Si, pour un niveau donné de la nomenclature, il n’existe pas de niveau administratif de taille adéquate dans un pays de l’UE, ce niveau doit être établi en agrégeant un nombre adéquat d’unités administratives contiguës de plus petite taille. Les unités agrégées qui en résultent forment un «niveau non administratif» auquel chaque unité non administrative doit respecter les seuils démographiques supérieurs.
La nomenclature NUTS actuelle, valide du 1er janvier 2015, répertorie 98 régions au niveau NUTS 1, 276 régions au niveau NUTS 2 et 1 342 régions au niveau NUTS 3. Le règlement (UE) no 1319/2013 prévoit le découpage de la nomenclature NUTS en fonction des niveaux 1, 2 et 3 en vigueur à partir du 1er janvier 2015.
DEPUIS QUAND CE RÈGLEMENT S’APPLIQUE-T-IL?
Il s’applique depuis le 11 juillet 2003.
CONTEXTE
- Depuis les années 1970, l’UE a développé un système appelé nomenclature commune des unités territoriales statistiques (NUTS) qui divise son territoire géographiquement pour le calcul de statistiques régionales, essentiellement afin d’évaluer les niveaux d’éligibilité aux fonds structurels de l’UE à l’aune de critères objectifs et quantitatifs.
- Tous les pays de l’Union européenne ont leur propre système de gouvernement et structure administrative, certains plus centralisés que d’autres. Ils diffèrent aussi énormément en termes de population, de superficie et de niveau de développement. La nomenclature NUTS a été élaborée par Eurostat précisément avec cette diversité de circonstances à l’esprit.
- Pour de plus amples informations, veuillez consulter la page intitulée NUTS – nomenclature des unités territoriales statistiques sur le site Internet d’Eurostat.
DOCUMENT PRINCIPAL
- Règlement (CE) no 1059/2003 du Parlement européen et du Conseil du 26 mai 2003 relatif à l’établissement d’une nomenclature commune des unités territoriales statistiques (NUTS) (JO L 154 du 21.6.2003, p. 1-41)
- Les modifications successives du règlement (CE) no 1059/2003ont été intégrées au texte de base. Cette version consolidée n’a qu’une valeur documentaire.
DOCUMENTS LIÉS
- Règlement (CE) no 11/2008 de la Commission du 8 janvier 2008 portant application du règlement (CE) no 1059/2003 du Parlement européen et du Conseil relatif à l’établissement d’une nomenclature commune des unités territoriales statistiques (NUTS) et concernant les séries chronologiques à transmettre pour le nouveau découpage régional (JO L 5 du 9.1.2008, p. 13-14)
- Règlement (UE) no 99/2013 du Parlement européen et du Conseil du 15 janvier 2013 relatif au programme statistique européen 2013-2017 (JO L 39 du 9.2.2013, p. 12-29)
- Veuillez consulter la version consolidée.
Dernière modification 04.11.2016
http://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/?uri=legissum:g24218[/vc_column_text][/toggle][toggle color= »Default » title= »Convention sur la protection des Alpes (1996) »][vc_column_text]SYNTHÈSE DU DOCUMENT:
- Décision 96/191/CE – la conclusion de la convention sur la protection des Alpes (convention alpine)
- Convention sur la protection des Alpes (convention alpine)
QUEL EST L’OBJET DE CETTE DÉCISION ET DE CETTE CONVENTION?
- La décision concerne la conclusion de la convention sur la protection des Alpes (convention alpine) qui a ensuite été approuvée au nom de la Communauté européenne.
- La convention alpine a pour objectif la sauvegarde à long terme de l’écosystème naturel des Alpes et leur développement durable, ainsi que la protection des intérêts économiques des populations résidentes. Les principes directeurs de la convention sont la prévention, le principe du pollueur-payeur et la coopération transfrontalière.
POINTS CLÉS
- Les parties à la convention sont l’Allemagne, l’Autriche, la France, Monaco, l’Italie, le Liechtenstein, la Suisse, la Slovénie ainsi que l’Union européenne (UE).
- Afin de remplir efficacement les objectifs de la convention, les parties à la convention agissent dans les domaines suivants: aménagement du territoire, protection de la nature et entretien des paysages, agriculture de montagne, forêts de montagne, protection des sols, tourisme et loisirs, énergie, transports, qualité de l’air, régime des eaux, population et culture, déchets.
- La convention prévoit l’élaboration et l’adoption de protocoles de mise en œuvre pour chacun de ces domaines ainsi que pour le règlement des différends entre les membres.
- Les membres sont tenus de coopérer dans les domaines de la recherche, de l’observation de la région, ainsi qu’en matière juridique, scientifique, économique et technique.
- Une conférence des parties contractantes (dite «conférence alpine») tient des réunions régulières (en principe tous les deux ans) pour examiner les questions d’intérêt commun aux parties contractantes, prendre des décisions et des recommandations.
DEPUIS QUAND CETTE DÉCISION ET CETTE CONVENTION S’APPLIQUENT-ELLE?
- La décision s’applique depuis le 26 février 1996.
- La convention est entrée en vigueur, pour la Communauté européenne, le 14 avril 1998.
DOCUMENT PRINCIPAL
- Décision 96/191/CE du Conseil du 26 février 1996 concernant la conclusion de la convention sur la protection des Alpes (convention alpine) (JO L 61 du 12.3.1996, p. 31)
- Convention sur la protection des Alpes (convention alpine) (JO L 61 du 12.3.1996, p. 32-36)
- DOCUMENTS LIÉS
- Décision 98/118/CE du Conseil du 16 décembre 1997 concernant la conclusion du protocole d’adhésion de la Principauté de Monaco à la convention sur la protection des Alpes (JO L 33 du 7.2.1998, p. 21)
- Décision 2005/923/CE du Conseil du 2 décembre 2005 concernant la signature, au nom de la Communauté, du protocole sur la protection des sols, du protocole sur l’énergie et du protocole sur le tourisme de la convention alpine (JO L 337 du 22.12.2005, p. 27-28)
- Décision 2006/516/CE du Conseil du 27 juin 2006 concernant la conclusion, au nom de la Communauté européenne, du protocole sur la protection des sols, du protocole sur l’énergie et du protocole sur le tourisme de la convention alpine (JO L 201 du 25.7.2006, p. 31-33)
- Décision 2006/655/CE du Conseil du 19 juin 2006 concernant l’approbation, au nom de la Communauté européenne, du protocole d’application de la convention alpine de 1991 dans le domaine de l’agriculture de montagne (JO L 271 du 30.9.2006, p. 61-62)
- Décision 2007/799/CE du Conseil du 12 octobre 2006 relative à la signature, au nom de la Communauté, du protocole de mise en œuvre de la convention alpine dans le domaine des transports (JO L 323 du 8.12.2007, p. 13-14)
- Décision 2013/332/UE du Conseil du 10 juin 2013 relative à la conclusion, au nom de l’Union européenne, du protocole de mise en œuvre de la convention alpine de 1991 dans le domaine des transports (JO L 177du 28.6.2013, p. 13)
Dernière modification 22.02.2017
http://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/?uri=legissum:l28161[/vc_column_text][/toggle][/toggles][/vc_column][/vc_row]